>> dernière màj le 02 janvier 2021 <<
Hello la compagnie ! Bienvenue sur la page récap. Comme certains le savent (ou pas), j’étais inscrite pour le passage du CAP – Pâtissier en candidate libre en 2020. Tout au long de l’année, les échéances ont été bousculées, COVID oblige.. MAIS les résultats sont tombés fin novembre et… C’est OFFICIEL je suis diplômée !

Cette page a été en mouvance toute l’année. Aujourd’hui, elle n’a pas vocation à vous détailler toutes les infos sur la préparation du diplôme, car en 2021 « tout » change, et les infos que je pourrais donner ne s’applique pas forcément à la nouvelle réforme. Pour autant, j’ai centralisé ici mes infos, car il y en a beaucoup et j’aime noter, et me souvenir !
rejoignez le #clairetteCAPpatissier2020 sur insta pour suivre les réalisations de l’année !
S‘il fallait résumer je dirais que… NON ce n’est pas un examen pour lequel il faut JUSTE faire un gâteau !!
Mais POURQUOI en 2020 obligatoirement ?
> En premier pour le challenge que j’ai trop trop longtemps reporté. Parfois la vie fait qu’on s’interdit ou que l’on nous interdit certaines choses. Comme j’avais (enfin j’ai!) décidé de reprendre mes envies en main c’était le moment de foncer !
> à cela est venu s’ajouter un second paramètre. Le temps.
Réformes pour les sessions de 2021 – maintenant pour pouvoir s’inscrire en candidat libre il faut justifier de 14 semaines de stage en entreprise, c’était donc la dernière année où je pouvais le tenter !
Du coup, octobre 2020 j’allais toute excitée déposer mon dossier dans la boite aux lettres. Ça y est, j’étais inscrite et l’aventure d’une année commençait.
Et à partir de ce jour là, inlassablement j’ai pâtissé chaque week-end et révisé chaque semaine. Pour le coup, totalement hors du cadre sans gluten et sans lait, car nooon je n’ai RIEN gouté de tout ce qui a été produit ! Et vous savez quoi ? J’suis même pas frustrée 🙂
Maintenant, il y a tant à dire que je vous invite à poursuivre la lecture des articles suivants, en fonction de ce qui vous intéresse :
– formalités et modalités de l’examen auxquelles je me suis pliée car c’était AVANT REFORME,
– mon bilan et rétrospective imagée, dans lequel je partage progrès, avancement, doutes au cours de l’année et quelques réalisations.
– Et enfin la délivrance : vivez la journée d’exam !
Je vous annonçais plus haut être diplômée maintenant 🙂 Je partage ma joie dans ce dernier article consacré au CAP.

Un bref retour de mon expérience globales sur l’année. Des choses que j’ai faite et qui se sont révélées salvatrices :
– Travailler tout au long de l’année, et ne pas se dire que l’on aura le diplôme sous prétexte qu’on fait déjà de beaux gâteaux. Le diplôme permet de TRAVAILLER et d’intégrer un laboratoire dans l’optique de production ce qui s’avère totalement différent de la pâtisserie du dimanche, aussi jolie et bonne soit-elle.
– Ne pas négliger la théorie. Le niveau est très accessible car jeune, mais il fallait s’y intéresser.
– Réaliser un (des?) CAP blanc – si possible en centre d’examen. ça a eu coût, mais même si ils sont tous différents j’ai pu découvrir un véritable labo et me confronter à plusieurs problèmes /erreurs. Puis j’ai fait une chouette rencontre en bonus ^^
– Persévérer. Les échecs sont plus nombreux que la réussite…
– Demander de l’aide aux professionnels. J’ai eu la chance de faire quelques jours de manière ponctuelle en pâtisserie et c’était trop cool. Avec la nouvelle réforme et les 14 semaines de stages imposées, les nouveaux inscrits ne rencontreront plus ce problème !
Les difficultés rencontrées :
– En candidat libre, personne pour corriger les erreurs ou mauvais gestes. Ne pas comprendre pourquoi telle ou telle chose est loupée. Une fois de plus, les futurs candidats libres ne rencontreront pas ce problème avec les 14 semaines de stages imposées.
– Tenir la cadence / faute au covid. Les derniers mois ont été épuisants moralement à cause des nombreuses incertitudes.
– L’investissement financier matériel ET en matière première. J’ai eu la chance d’avoir énormément de soutien par mes proches de ce côté là. Sans eux je n’aurais pas pu joindre les 2 bouts. J’avais aussi déjà du gros matériel (robot, four) qui m’ont permis de ne pas dépenser une certaine somme supplémentaire.
– Travailler dans une cuisine pas pratique. Pas de place pour abaisser, dresser, refroidir, stocker (matériel, matières ET réalisations), peu de place pour la plonge etc…
Bon ça va, j’suis vivante !
